La
première objection que pose la plupart des personnes, c’est sur la véracité de
la rencontre de Raël avec les extra-terrestres.
La plupart du temps, c’est une réaction basée sur une simple impression.
Une rencontre avec des extra-terrestres ! Et qui lui transmettent un
message pour l’humanité !
Au premier abord, ça paraît tellement inouï, surnaturel, science-fiction qu’on
ne veut pas le croire.
Ça dépasse l’entendement.
Non, ce n’est pas possible, c’est une histoire inventée de toutes pièces.
Raël ne demande pas qu’on le croît, surtout pas.
Il nous demande seulement de réfléchir, de comprendre.
Des milliards de gens sur terre croient en dieu, une entité invisible douée de
pouvoirs gigantesques, qui sait tout et voit tout dans l’univers.
C’est pas
plus fantasque comme raisonnement ?
Raël expose un postulat concret, rationnel, qui permet de comprendre tout ce
que l’église a entouré de mystères. Qui permet aussi de comprendre pourquoi la
théorie de l’évolution est un mythe.
Son témoignage, son Message, est appuyé par une longue série d’évènements qui
ont laissé des traces sur terre :
Le rôle d’un prophète est de prophétiser.
Tout ce que Raël a annoncé dans les Messages il y a plus de 35 ans se réalise
au fur et à mesure des progrès de la science.
Les médias et scientifiques se moquaient de ses prophéties technologiques.
C’était fantasque, en contradiction avec les connaissances qui ne pouvaient
être remises en cause.
Quand il parlait de vivre éternellement grâce à la science, on se moquait de lui.
Aujourd'hui nombreux sont les articles de scientifiques vantant les possibilités prochaines de la vie éternelle.
La venue de Raël correspond parfaitement à l’époque de la Révélation, celle de
nos origines, et de la fin des temps.
Il démystifie les croyances obscurantistes, ouvre l’esprit pour libérer sa
conscience, apprendre à être soi-même et aimer son prochain, dans le respect et
la délicatesse.
Yahvé avait surnommé Jacob « Israël ».
Yahvé a surnommé Claude Vorilhon « Raël ».
Il n’y a pas de hasard. C’est trop parfait. La boucle est bouclée.
Le dernier des prophètes n’aurait pas pu s'appeler autrement.